samedi 2 février 2013

Manoeuvre à simple action : 3 engagement du gros.


DEUXIEME PARTIE – ENGAGEMENT DU GROS DU DETACHEMENT

Directeur (au commandant du parti). Où étiez-vous, et qu'avez-vous fait, lorsque vous avez entendu les premiers coups de canon, vers 7h15, heure à laquelle vous n'aviez encore reçu aucun renseignement de votre cavalerie ?

Commandant du parti. A 7h15, j'étais en marche, avec mon avant-garde, sur la grand'route, à hauteur du grand bois de la Hautonnerie (3 kilomètres nord de Louvigny). Dès que j'entends le canon vers Nomeny, je me porte en avant au trot, escorté par un peloton de cavalerie, dans l'espoir de rejoindre le gros de ma cavalerie, et, en tous cas, pour me rendre compte de la situation.

D. Partir, c'est très bien mais n'oubliez pas de laisser une ligne de conduite à celui qui vous remplace. Que lui dites-vous ?

Ct du parti. Voici mes instructions :
«L'ennemi parait déboucher de Nomeny.
« II importe d'arriver le plus vite possible à la Seille, de façon à pouvoir le rejeter sur la rive gauche, s'il n'a encore fait passer que des forces insuffisantes pour se maintenir sur la rive droite. »

D. Soit. En cours de route, vous rencontrez une estafette qui vous apporte la nouvelle qu'à 7h15 de l'infanterie, appuyée par de l'artillerie, cherchait à déboucher de Nomeny.
Vers 8h15, vous rejoignez le commandant de la cavalerie, à l'est de Raucourt. Il vous fait savoir qu'il a dû abandonner les abords immédiats de Nomeny, devant des forces supérieures : l'ennemi a montré jusqu'ici trois ou quatre escadrons, un bataillon d'infanterie environ, une ou deux batteries. Vos escadrons ont reçu du commandant de la cavalerie l'ordre de se replier sur Raucourt, Ressaincourt, bois de Mailly, et d'y tenir jusqu'à l'arrivée de l'infanterie. La batterie qui opérait avec eux a été rappelée vers Ressaincourt.
Vous avez été informé que la droite de l'armée s'étendait jusque Thézey-Saint-Martin.
A 7h30, l'ennemi n'avait pas paru à Port-sur-Seille et à Cheminot.
Vous voyez deux de vos escadrons entrer dans Raucourt, et s'y établir. Trois escadrons ennemis les poursuivaient mais, sans aborder les lisières de Raucourt, ils viennent de filer vers le nord, en passant à l'ouest de ce village.
Vous voyez encore deux autres de vos escadrons occuper le mouvement de terrain 235 et Ressaincourt.
Vous entendez le canon dans la direction de Nomeny, et la fusillade vers Mailly.
Que décidez-vous?

Ct du parti. L'ennemi n'a encore montré que de la cavalerie, un bataillon, et une ou deux batteries. Je veux attaquer dans le double but de reconnaître, et de rejeter si possible sur la rive gauche les éléments qui ont franchi la rivière, afin de disposer, pour l'accomplissement de ma mission, des avantages que peut procurer cette coupure du terrain.
Je ne crains pas, quant à présent, d'enveloppement sur ma droite.
Quant à la liaison avec l'armée (Thézey-Saint-Martin), elle ne sera assurée que si j'atteins la Seille à Abaucourt, ou si, au minimum, je suis maître du massif forestier au nord-est de Mailly : nouvelle raison pour attaquer.
Mais, pour attaquer, il faut d'abord mettre mes forces en mains, les rassembler.
Où les rassembler ? Vers Saint-Jure évidemment, couvertes sur le front Raucourt, Ressaincourt.
Ce front est tenu actuellement par la cavalerie, laquelle peut être attaquée, à bref délai, par l'infanterie et l'artillerie ennemies déjà reconnues. Ma première préoccupation est de faire relever la cavalerie par les troupes de mon avant-garde, renforcées par l'artillerie du gros.
Si l'infanterie ennemie me devance dans ces points d'appui, je m'efforcerai de l'en déloger.
Après cela, j'envisagerai l'organisation de l'attaque, en vue de rejeter l'adversaire au delà de la Seille, ou bien, si celui-ci m'oppose des forces trop nombreuses, je me résoudrai à la défensive.
En conséquence, je donne, à 8h20, les ordres suivants :

Au commandant de l'avant-garde : « A partir de Saint-Jure, un bataillon sur Raucourt, un bataillon sur Ressaincourt et la corne sud du bois de Ressaincourt »;
Au commandant de la flanc-garde : « Marchez sur Raucourt, tout en continuant à remplir votre mission de flanc-garde »;
Au commandant de l'artillerie : « Établissez-vous en surveillance sur la crête de la rive droite du ruisseau de Vigny, puis, dès que vous le pourrez, portez l'artillerie à la crête 264 (nord de Ressaincourt) »;
Au commandant du deuxième régiment : « Arrivé à Saint-Jure, rassemblez le régiment à 1000 mètres à l'est. »

D. Réglons d'abord un incident qui se produit, entre 8h15 et 8h3o, à l'ouest de Raucourt :
(Au commandant de la flanc-garde) : Votre bataillon a débouché vers 8 heures de Louvigny. Arrivée aux abords du ruisseau de Vigny, la compagnie de tête a vu trois escadrons ennemis, qui, venant des abords ouest de Raucourt, s'approchaient du ruisseau vers le moulin des Moines. Ces escadrons ont fait demi-tour, se repliant dans la direction d'Éply. Qu'a fait la compagnie de tête de votre bataillon?

Commandant de la flanc-garde. Elle a suivi la route d'Éply pour se porter à la crête.

D. Arrivée à cette crête, elle n'a plus vu les cavaliers, mais constaté qu'Éply était occupé.
Le commandant du bataillon qui marche en tête de ses trois autres compagnies est parvenu au moulin des Moines vers 8h40. L'ordre l'appelant à Raucourt ne l'a pas encore touché il entend à ce moment une violente fusillade du côté de cette localité. Que fait-il ?

Ct de la flanc-garde. Pendant que sa compagnie de tête marche sur Éply, il se dirige, avec les trois autres, du moulin des Moines vers Raucourt.

D. En s'approchant de Raucourt, le commandant du bataillon apprend qu'un bataillon de l'avant-garde vient de s'y établir. Que fait-il ?

Ct de la flanc-garde. Il pousse une compagnie à la Croix du Gros Chêne, et arrête les deux autres à 5oo mètres au nord de ce dernier point. Le bataillon est ainsi disposé pour protéger l'aile droite de la brigade, ou renforcer, s'il y a lieu, les défenseurs de Raucourt.

D. La situation à 8h45 est la suivante :
Un bataillon de votre avant-garde a occupé Raucourt.
L'ennemi (un bataillon environ) attaque Raucourt, par le sud et le sud-ouest.
De l'artillerie se révèle à 1500 mètres nord-est de Rouves, et commence à battre les lisières de Raucourt.
Vous avez un escadron à Ressaincourt, un escadron à la crête 235.
L'infanterie ennemie vient d'entrer dans Mailly. Quelques fractions commencent à en déboucher vers le nord, marchant vers la lisière sud du bois de Mailly, occupée par votre escadron, qui a défendu le village.
Votre batterie détachée avec la cavalerie vient de s'établir au nord et contre Ressaincourt, face à l'ouest ; elle est dissimulée à l'artillerie ennemie, et en état d'agir dans de bonnes conditions sur les abords de Raucourt.

Ct du parti. L'ennemi attaque, mais il ne m'a pas montré des forces telles que je sois réduit déjà à abandonner l'idée de le rejeter au delà de la Seille. Toutefois, je ne contre-attaquerai pas à fond avec toutes mes forces, car ma mission est de longue durée, et je ne sais pas à quelles nécessités ultérieures j'aurai à faire face.
Par où contre-attaquer ?
Par la gauche, parce que j'y trouve des cheminements pour l'infanterie, parce que c'est la direction la plus courte pour atteindre la Seille, parce qu'enfin c'est le côté de la liaison avec l'armée.
Si la contre-attaque n'atteint pas son but final, qui est de rejeter l'ennemi au delà de la Seille, sa direction est telle qu'elle tendra toujours à ralentir l'occupation, par l'adversaire, de la zone forestière, dont l'importance a été signalée précédemment.
Quoi qu'il advienne plus tard, un premier résultat est dès maintenant acquis mon infanterie est à Raucourt, elle sera dans quelques instants à Ressaincourt. Mon gros a une zone de manœuvre assurée au nord de ce front Raucourt, Ressaincourt.
Aussi, à 8h45, j'envoie l'ordre suivant à ce gros (2e régiment) :
« En vue de rejeter l'ennemi au delà de la Seille, et de pouvoir nous établir défensivement sur cette rivière, attaquez avec un bataillon dans la direction de Mailly, par les lisières ouest des bois de Ressaincourt et de Mailly. Poussez un deuxième bataillon à l'est de la cote 264 contre le bois, où il sera prêt à soutenir le premier, mais ne s'engagera que sur mon ordre. Laissez le troisième bataillon en réserve générale à l'est de Saint-Jure. »
A 8h45 également, je donne l'ordre au commandant de l'artillerie de porter une de ses batteries à l'est de Raucourt, pour agir sur le terrain entre Mailly et Ressaincourt.
Enfin, à la même heure, je prescris au commandant de la cavalerie de réunir le plus tôt possible ses escadrons au nord de Raucourt, et de s'efforcer d'agir, par Éply et Rouves, sur la gauche et les derrières de l'ennemi.

D. A 9h15, vous apprenez que l'ennemi s'est emparé, vers 9 heures, de la lisière sud du bois de Mailly.
Une chaîne d'infanterie assez dense (quatre compagnies environ) est en ce moment déployée sur le mouvement de terrain au nord de 235. Elle vient de s'engager dans un combat de feux avec votre propre infanterie qui garnit depuis quelques minutes les lisières de Ressaincourt et du bois de Ressaincourt.
Rien de nouveau aux abords de Raucourt.
Fixez le détail de votre situation à 9h15.

Ct du parti. Premier régiment : un bataillon à Raucourt; un bataillon à l'ouest de ce village : une compagnie vers la Croix du Gros Chêne, deux compagnies en réserve à 5oo mètres au nord de ce dernier point; un bataillon ayant : deux compagnies à Ressaincourt, une compagnie à la corne sud du bois de Ressaincourt, une compagnie à la lisière du bois, 5oo mètres nord-est du hameau.
Deuxième régiment en colonne par quatre, la tête à 1 kilomètre est de Saint-Juré.
Artillerie une batterie contre la lisière nord de Ressaincourt, battant les abords sud de Raucourt;
Une batterie établie à 264 depuis 9 heures, en lutte avec l'artillerie ennemie en batterie au nord-est de Rouves;
Une batterie va arriver à 9h20, et s'établira à droite de la précédente.
La dernière batterie a été également appelée, par Saint-Jure, sur Raucourt. Elle doit être en route pour rejoindre.
Cavalerie : le commandant de la cavalerie n'a encore de disponibles, à 9h15, que les deux escadrons qui étaient à Raucourt. Un des escadrons de Ressaincourt le rejoindra dans quelques minutes ; l'autre, qui a été engagé dans le bois de Ressaincourt, ne pourra rallier qu'entre 9h3o et 9h45. Enfin, l'escadron qui a combattu à Mailly restera engagé dans les bois avec des fractions d'infanterie, et ne rejoindra pas.

D. –Je demanderai maintenant au commandant de l'artillerie comment ses batteries du gros sont entrées en action.
La première est arrivée, vers 9 heures, au mouvement de terrain 264 (nord de Ressaincourt). Je vous rappelle qu'à cette heure, la batterie détachée avec la cavalerie est en action, depuis quinze minutes environ, contre l'infanterie ennemie qui attaque Raucourt : elle n'éprouve aucun dommage de l'artillerie adverse, qui ne la voit pas. Mais, de son côté, l'ennemi a de l'artillerie sur le mouvement de terrain 1500 mètres nord-est de Rouves, qui tire sur les défenseurs de Raucourt, sans être contre-battue. Lorsque vous faites votre reconnaissance à 264, vous voyez des lueurs produites par les coups de cette artillerie et réparties inégalement sur un front de 4o millièmes environ.
Comment votre première batterie occupe-t-elle la position et comment entre-t-elle en action ?

Ct de l'artillerie. L'artillerie ennemie étant en position au moment où la nôtre va se mettre en batterie, la marche d'approche et l'occupation de la position se font à l'abri absolu de la crête jalonnée par la route Saint-Jure, Ressaincourt. Les batteries seront établies au défilement maximum permis par la condition de pouvoir tirer sur les crêtes de la rive gauche du ruisseau de Pumpey. La première batterie est installée à la gauche de la position, à intervalles aussi grands que possible, sous réserve que l'espace nécessaire à la deuxième batterie sera ménagé. Une fois établie, la première batterie prend pour objectif l'artillerie ennemie qui tire sur Raucourt.

D. Lorsque votre batterie ouvre le feu, ses lueurs sont aperçues par l'artillerie ennemie de la crête nord-est de Rouves. Vous avez pu voir alors, à gauche du front de 4o millièmes précédemment défini, de nouvelles lueurs s'étendant à 5o millièmes en dehors de ce front. Des projectiles sont tombés dans le voisinage de votre batterie, puis une rafale a balayé le terrain, en avant d'elle principalement.

Ct de l'artillerie. Le commandant de batterie a fait abriter son personnel au moment de la rafale. Puis, sans changer son objectif, c'est-à-dire continuant à tirer sur les 40 millièmes de front sur lesquels il avait ouvert le feu, il lancera lui-même les salves qu'il pourra tirer, dans l'intervalle entre les salves ou les rafales dirigées contre lui.

D. Grâce à votre défilement et aux procédés mis en œuvre par vous, vous pouvez en effet continuer à tirer, sans éprouver de pertes sérieuses. L'ennemi continue, lui aussi, à tirer tant bien que mal sur Raucourt quant à celles de ses pièces qui sont orientées sur vous, elles ne sont, d'après ce que vous venez de me dire, nullement contre-battues.
Comment, vers 9h20, votre deuxième batterie entre-t-elle en action ? Comment concevez-vous en outre que le feu de vos deux batteries pourra être conduit ?

Ct de l'artillerie. Au moment où la deuxième batterie arrive près de la position à occuper, je prescris à la première de cesser son feu et d'abriter son personnel ; puis, j'attends que les rafales de l'ennemi sur la crête 264 cessent, ce qui ne peut manquer de se produire, car on ne tire contre une artillerie masquée que lorsque celle-ci accuse sa présence et son action par son propre tir. Je profiterai alors de l'accalmie, pour faire mettre en batterie la deuxième batterie, à droite de la première, sans montrer ni un homme ni un cheval.
En ce qui concerne la direction des feux, je répartirai entre mes deux batteries le front sur lequel les lueurs se sont manifestées (45 millièmes à chaque batterie). Lorsque les deux batteries seront prêtes à ouvrir le feu, la première recommencera à tirer sur les pièces ennemies qui n'ont cessé de tirer contre Raucourt. Cette réouverture de feu correspondra sans doute à une reprise de feu contre ma première batterie, par les pièces précédemment en action contre elle. C'est alors que ma deuxième batterie commencera à tirer elle-même sur ces dernières.

D. Je ne doute pas qu'entre deux artilleries ainsi masquées, la lutte, à cette distance, puisse se prolonger assez longtemps, sans que l'une d'elles soit mise nettement en état d'infériorité. C'est ainsi que les choses se passeraient probablement dans le cas qui nous occupe. Impossible de pousser l'étude plus loin, dans un exercice sur la carte.

D. Au commandant du parti : Vers 10 heures, la chaîne ennemie qui s'est constituée sur le mouvement de terrain 235, est devenue très dense elle se porte à l'attaque de la lisière sud du bois de Ressaincourt, entraînée par de nombreux renforts ; on peut évaluer à trois bataillons les troupes de cette attaque. En même temps, une batterie apparaît à 800 mètres sud de Ressaincourt, accompagnant ce mouvement offensif.
L'infanterie ennemie pénètre dans le bois, mais se trouve engagée aussitôt avec le premier bataillon de votre second régiment, qui l'aborde sur son flanc gauche. Il en résulte un combat sous bois très confus, aux abords du chemin Mailly, Secourt, et les progrès de l'infanterie assaillante dans le bois sont pour le moment paralysés.
Mais, pendant ce temps, la batterie qui a accompagné l'attaque canonne, à 800 mètres, les lisières de Ressaincourt. Des fractions d'infanterie adverse se précipitent dans le ravin, pour aborder de là le hameau. Votre dernière batterie, en position à 9h40 à l'est de Raucourt, appuie très efficacement, pour le moment, la défense de Ressaincourt, et paraît vous en garantir jusqu'à nouvel ordre la possession, malgré la supériorité numérique des effectifs mis en jeu par l'assaillant.
Comment envisagez-vous la situation, et quels ordres donnez-vous?

Ct du parti. Mon rôle de couverture du flanc de l'armée et des communications avec Metz me commande de durer. Je ne dois pas jouer mon va-tout à 10 heures du matin. Mon adversaire s'est déployé, et a produit un gros effort offensif : il a montré quatre ou cinq bataillons et trois batteries environ. Quant à moi, non seulement je ne suis plus en situation de développer ma contre-attaque, mais, si je voulais me maintenir à Ressaincourt, il me faudrait engager mes dernières réserves. Je ne le ferai pas.
Aussi, à 10 heures, je prends la résolution de rompre le combat, et de porter ma brigade entre le ruisseau de Berupt et le ruisseau de Vigny, pour disputer à l'ennemi les débouchés nord de la région forestière, tandis que mes fractions engagées dans les bois se replieront sur Secourt.
En conséquence, je donne les ordres suivants, transmis verbalement aux intéressés :
« La brigade va rompre le combat et se reporter sur une nouvelle position défensive, à 3 kilomètres en arrière Allémont, ferme Berupt.
«Pour favoriser la rupture du combat autour de Ressaincourt, le deuxième bataillon du deuxième régiment contre-attaquera de suite, entre Ressaincourt et les bois.
«Les troupes engagées autour de Ressaincourt, sous les ordres du colonel du deuxième régiment, retraiteront, par le nord du bois de Ressaincourt, sur la portion de la nouvelle position comprise entre la route incluse Secourt, Vigny et le bois de Berupt.
«Le bataillon de réserve générale ira de suite s'établir à Allémont, et sur le mouvement de terrain situé entre ce hameau et la route Secourt, Vigny.
« Les deux bataillons engagés à Raucourt et à l'ouest, sous les ordres du colonel du premier régiment, se déroberont par Saint- Jure et l'ouest d'Allémont, et viendront s'établir, en réserve, à 800 mètres nord-est de cette dernière localité, sur la rive gauche du ruisseau de Vigny.
« L'artillerie ira s'établir derrière la crête, au sud de Vigny.
« La cavalerie favorisera la retraite, couvrira le flanc ouest du détachement, et maintiendra le contact. »

   L'exercice se termine, à suivre : la critique de l'arbitre.

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